Le 7 février dernier, le Défenseur des droits a émis un nouvel avis sur les difficultés rencontrées par les mineurs non accompagnés en termes d’accès à une prise en charge ou d’atteintes à de leurs droits fondamentaux (notamment le droit à la santé et à l’éducation).
Il critique la pratique des examens médicaux d’évaluation de l’âge et l’imprécision du nouvel article 388 du code civil entériné par la loi du 14 mars 2016 relative à la protection de l’enfant.