Jeudi dernier, les Sages ont rejeté sur la forme la disposition contenue dans la loi relative à l’égalité et à la citoyenneté concernant l’interdiction des violences corporelles infligées aux enfants dans le cadre de l’exercice de l’autorité parentale.
Dénigrée souvent comme étant une disposition anti-fessée, cette interdiction aurait pourtant mérité un autre sort.
Non seulement, elle aurait placé la France parmi les pays respectueux de la Convention Internationale des Droits de l’enfant qu’elle a signé et ratifiée il y a plus de 25 ans, mais aussi et surtout, elle aurait affirmé que l’éducation des enfants ne peut se faire par les coups, les brimades et les humiliations.
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